10 Septembre 2006
Comme chaque année le Nothomb nouveau est arrivé, exceptionnellement (ouah c’est vachement long comme mot) je me suis offert un livre qui ne soit pas en poche, et j’aurais peut être pas du.
Le journal d'hirondelle, comme tout les Nothomb, a un début de trés bonne qualité, mais cette histoire est trop courte, on le dévore pour arriver vers une fin bâclée, c’est assez surprenant mais ça fait 2 livres décevant de suite. Au moins le précédent, Acide Sulfurique contenait de l’humour noir bien acide. Le côté sordide est donnée par la profession du héro, tueur à gage, mais au final pas beaucoup d’émotion. Pourtant on a vraiment l’impression qu’avec son histoire il y avait de quoi maintenir un suspens, de construire quelque chose d’intéressant.
Il reste toujours ce tallent d’écrivaine que l’on ne peut que difficilement renier, mais elle a oublier cette fois l’histoire. J’espère qu’elle y pensera la prochaine fois. On ne peut pas dire que ce livre est nul mais on était habitué à largement mieux.
Heureusement je n’ai pas encore lu l’intégralité de ses œuvres, je vais pouvoir me consoler en attendant un futur très bon roman, je l’espère.